Xiaomi, au 3e rang du marché mondial des smartphones, après Samsung et Huawei1, envisage de fabriquer des voitures électriques.
Xiaomi, the 3rd in the global smartphone market after Samsung and Huawei, plans to produce electric cars.
Xiaomi, au 3e rang du marché mondial des smartphones, après Samsung et Huawei1, envisage de fabriquer des voitures électriques.
Xiaomi, the 3rd in the global smartphone market after Samsung and Huawei, plans to produce electric cars.
La Chine a ajouté au début de l’année 2021 la planète Mars comme future destination pour ses taïkonautes. Pour l’exploration de la Lune, dans laquelle elle est déjà bien engagée, un accord important a été signé avec la Russie, le 9 mars dernier.
Pour les vingt ans à venir, le risque de guerre est faible entre la Chine et les États-Unis, et une coexistence pacifique est annoncée, les deux puissances se disputant la tutelle du monde. À en croire les dirigeants chinois, Taïwan aura rejoint la mère Patrie. Des prévisions dérangeantes de la Direction du renseignement des États-Unis.
For the next twenty years to come, the risk of a war between China and the US is low, and a pacific coexistence is expected, the two Powers fighting for a global control. According to the Chinese leaders, Taïwan will have joined the motherland. Such disruptive previsions about our world’s future have been released by the US Direction of national intelligence.
1 – ÉVÉNEMENTS MAJEURS RÉCENTS ET ENJEUX DE DEMAIN
Chine 2040 : La Chine dans le monde, vue par les États-Unis, Edouard Valensi, Asie21
Chine Espace : un tournant historique pour la Chine ? Philippe Coué, Asie21
Chine Xiaomi (小米) voudrait fabriquer des voitures électriques ? Patrick Hébert, Asie 21
Chine – Amazonie – Sibérie Le marché alimentaire chinois : l’Amazonie l’emporte sur la Sibérie, Maurice Rossin, Asie21
Interview du général Alain Lamballe (vidéo)
Confrontées dans l’Himalaya à la puissante armée chinoise, les forces armées indiennes ne font pas le poids en termes militaires. La stratégie de New Delhi consisterait ainsi à multiplier les partenariats, les exercices et les achats d’armements avec les diplomaties occidentales. Décryptage du général Lamballe, spécialiste de l’Asie du Sud.
Le 13 avril, à New Delhi, Jean-Yves Le Drian s’est entretenu avec son homologue indien. Durant la rencontre, «tous les aspects du partenariat stratégique bilatéral ainsi que les défis régionaux et mondiaux» ont été abordés.
Lignes rouges –Jean-Baptiste Mendes reçoit le général Alain Lamballe, membre du groupe Asie21 et spécialiste de l’Asie du Sud au Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R).
Sans la nommer, on a beaucoup pensé à la Chine lors de ces échanges. Le 15 juin 2020, un face-à-face entre les armées chinoises et indiennes dans l’Himalaya avait fait au moins vingt morts côté indien. Si «les tensions se sont amenuisées sur le plan militaire», le général Alain Lamballe, spécialiste de l’Asie du Sud n’observe pas de «véritable désengagement des forces». Les Indiens «n’ont pas d’autre choix maintenant que de tenir le terrain face à la Chine», d’après lui. Ainsi New Delhi se rapproche de plus en plus formellement des positions occidentales. Notamment en participant à des exercices militaires au sein du Quad, l’alliance regroupant l’Inde, les Etats-Unis, le Japon et l’Australie. Par ailleurs, l’Inde s’efforce de moderniser ses forces armées. D’où l’achat récent de trente-six Rafale à la France et la volonté d’acquérir des S-400, les systèmes de défense antiaérienne à la Russie :
«Il y a une différence de potentiel considérable entre l’armée chinoise et l’armée indienne, dans les effectifs, les équipements et surtout les armements», explique Alain Lamballe.
Ancien journaliste à France Culture, maître de conférence à HEC, chercheur associé à Paris V et professeur invité à l’Université Sorbonne Abou-Dhabi, Thierry Garcin est l’auteur de l’ouvrage Arctique : la géopolitique est de retour. La deuxième édition a été publiée par les éditions Economica au début de 2021.
Tome 2 : les comptoirs sous trois Républiques
(1870-1963)
Le Danemark a besoin d’une stratégie indo-pacifique
27 avril 2020
Danish Institute for International Studies (DIIS )
La concurrence stratégique américano-chinoise en Asie remet en question la politique danoise dans la région indo-pacifique. Mais il existe également des possibilités de collaboration avec des partenaires européens et d’étendre la collaboration et l’intégration danoises avec les économies émergentes.
Radio RFI, Le Journal de 13h00, Birmanie, la mobilisation ne faiblit pas, la répression s’intensifie, 16.03.2021 RFI, Le Journal de 13h00, Birmanie, enjeux et implications d’une possible répression, 16.02.2021, RFI, Décryptage : Birmanie, les conséquences du coup d’État, 01.02.2021 Télévision France24, Journal de 20h00, Birmanie : les groupes ethniques armés se mobilisent auprès du mouvement de … Lire la suite