Chine – Éthiopie : Route de la soie, satisfaction et mésaventure

La Chine a aidé l’Éthiopie à entreprendre deux lourdes opérations d’infrastructure de transport : le chemin de fer léger de l’agglomération de la capitale et la liaison ferroviaire Addis Abeba-Djibouti. Plusieurs années de fonctionnement autorisent à en tirer les leçons, mitigées. Les Nouvelles routes de la soie les comptent dans un programme que n’accompagnent plus les trompettes de Pékin.

China has helped Ethiopia undertake two major transport infrastructure operations: the Capital City Light Railway and the Addis Ababa-Djibouti Rail Link. Several years of operation allow us to draw lessons, mixed. The New Silk Roads include them in a program that no longer accompanies the trumpets of Beijing.

FAITS

La Chine a participé à deux projets ferroviaires d’envergure en service aujourd’hui. L’Addis Ababa Light Railway Transit et la voie ferrée vers Djibouti. Le premier n’offre plus qu’un service dégradé, le second recherche sa rentabilité.

Addis Ababa Light Railway Transit, LRT

Entre 2023 et 2035, la région métropolitaine d’Addis Abeba pourrait quasiment doubler, passant de 5,5 à 10 millions d’habitants. Un transport de masse non polluant sur rail était devenu nécessaire pour assurer une mobilité urbaine correcte. Les deux lignes du LRT, inaugurées à l’automne 2015, devaient contribuer à la réponse. La China Railway Engineering Corporation et la China Exim Ban [•••]

Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n° 170/2023-03

 

 

 

 

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