Kazakhstan : Grâce présidentielle et réintégration d’un sinologue accusé de trahison. Réforme des services de sécurité ?

Condamné en 2019 à dix ans de prison pour haute trahison le sinologue kazakhstanais d’origine russe Konstantin Syroīejkine a été gracié par le président Kassym-Jomart Tokaïev après quatre ans et cinq mois d’incarcération. La nouvelle a été annoncée par un collègue, Andreï Tchebotariov, directeur du Centre de recherches contemporaines alternative, proche des autorités.

Le professeur Syroīejkine, qui avait occupé des fonctions importantes dans des institutions proches du pouvoir, avait été jugé en catimini dans un procès à huis clos. [•••]

Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n° 187/2024-10

 

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