Comment réagiront les États-Unis au dépassement de leur PIB par la Chine ?
CHAPONNIERE Jean-Raphaël
Chine – États-Unis : Un conflit en cache un autre
La guerre commerciale n’aura sans doute pas lieu, mais le conflit est ailleurs.
Thaïlande : L’enjeu des investissements étrangers
La croissance est la plus faible de l’ASEAN et la Thaïlande attire moins les investisseurs
Lettre confidentielle Asie21-futuribles n°114 février 2018 – sommaire
Asie21, le groupe de réflexion qui a du Chien
1 – ÉVÉNEMENTS MAJEURS DU MOIS ET ENJEUX DE DEMAIN
ASIE
ASIE – ÉTATS-UNIS Donald Trump, un risque pour l’Asie, Jean Raphaël Chaponnière, Asie21
Asie – États-Unis : Donald Trump, un risque pour l’Asie
Si la probabilité d’une guerre commerciale diminue, le risque économique augmente.
Indonésie : Manque de fondations
L’appel au secteur privé ne suffira pas.
Lettre confidentielle Asie21-futuribles n°113 janvier 2018 – sommaire
1 – ÉVÉNEMENTS MAJEURS DU MOIS ET ENJEUX DE DEMAIN
ASIE MÉDIANE
IRAN
Révolte ou révolution ? Patrick Dombrowsky, Asie21
En Asie, la classe moyenne est la gagnante de la mondialisation
Emmanuel Macron en Chine : une visite stratégique pour Paris et Pékin (parties 1 et 2)
Après avoir prôné une nouvelle alliance entre la France, l’Europe et la Chine, Emmanuel Macron consacre mardi la deuxième journée de sa visite d’État en Chine aux dossiers politiques et économiques, avec la signature attendue d’une cinquantaine d’accords et de contrats, notamment sur le nucléaire civil et l’aéronautique.
Nouvelles Routes de la soie : où en est-on exactement ?
Des officiels iraniens applaudissent à l’entrée en gare de Téhéran du premier train reliant la Chine à l’Iran depuis l’ancienne Route de la soie, le 15 février 2016. (Crédits : AFP PHOTO / STRINGER)
Lettre confidentielle Asie21-futuribles n°112 décembre 2017 – sommaire
1 – ÉVÉNEMENTS MAJEURS DU MOIS ET ENJEUX DE DEMAIN
EURASIE
EURASIE La face sombre des Routes de la soie, Rémi Perelman, Asie21
Inde : un an après la démonétisation
L’impact de la démonétisation est derrière mais l’emploi ne repart pas.
Vietnam : L’enjeu de la productivité
Hôte de l’APEC, le Vietnam, dont l’économie est la plus dynamique de l’ASEAN, est confronté à la baisse de sa population en âge de travailler.
La Corée du Sud va-t-elle changer de moteur économique ?
Depuis quelques mois, bruits et fureurs entourent la péninsule coréenne. Kim Jong-un multiplie les tirs de missiles dont la portée s’allonge, le Président Trump agite des menaces. Dans ce contexte belliqueux, le Sud vit une transition qui attire moins l’attention.
Chine – États-Unis : guerre commerciale, guerre des impôts ?
La réforme américaine des impôts comme alternative aux mesures commerciales.
La Chine et ses importations dopent les pays émergents : une embellie durable ?
- en 1952 avec la chute des cours de matières premières à la fin de la guerre de Corée ;
- en 1958 du fait de la récession américaine ;
- en 1982 à la suite du « choc Volker » – la hausse des taux d’intérêt de la Réserve fédérale américaine – ;
- en 1998 après la crise asiatique qui s’est propagée au Brésil et à la Russie ;
- en 2001 après l’éclatement de la bulle Internet.
Asie : les robots à l’assaut des petites mains
À Davos en janvier 2017, Xi Jinping s’est livré à un vibrant plaidoyer pour la mondialisation, qu’il a défini comme « la conséquence naturelle du progrès qui n’est pas le résultat de l’action d’un individu ou d’un pays ». Il oublie qu’au XIXe siècle, la première mondialisation doit beaucoup à la Pax Britannica et la seconde à l’hégémonie américaine. Il n’empêche : du navire à vapeur au télégraphe, les évolutions technologiques ont accompagné la première mondialisation ; à partir des années 1990, les progrès des télécommunications et la diffusion d’Internet ont donné une forte impulsion à la seconde.
L’avenir économique de l’ASEAN : relâchement, dilution, fragmentation ?
L’ASEAN a fêté son cinquantième anniversaire, elle a un passé, a-t-elle un avenir ?
Quand la Chine construit des chemins de fer en Afrique : le précédent du Tazara
En 2017, deux lignes de chemin de fer construites et financées par la Chine ont été mises en service en Afrique subsaharienne. La première (750 km) relie Addis Abeba à Djibouti où Pékin vient d’inaugurer sa première base militaire, et la seconde (477 km) joint Mombasa depuis Nairobi. Ces lignes remplacent celles construites par la France et l’Angleterre. Elles s’ajoutent à trois autres achevées depuis 2014 : Khartoum-Port Soudan (780 km) et Abuja-Kaduna (180 km) au Nigeria. En moins de dix ans, la Chine a ainsi ajouté 2200 aux 55 000 kilomètres du réseau ferroviaire africain. Cette fièvre du train surprend. Elle a pourtant un antécédent : au début des années soixante-dix, la Chine a construit une ligne de 1860 kilomètres reliant Dar es-Salam en Tanzanie à Kapiri Mposhi en Zambie proche de la Copper Belt. Le « Tazara » qui demeure à ce jour en Afrique le plus grand projet de la Chine fut sa première grande manifestation sur le continent noir.