À la suite de la visite de Nancy Pelosi à Taipei, Pékin lance 11 missiles Dongfeng autour de Taïwan dont dont 4 survolent Taïwan y compris sa capitale. C’est le Japon qui annonce le premier la trajectoire des tirs de missiles. Et aucune sirène ne retentit à Taïwan alors que l’île est équipée d’un radar américain de défense aérienne (station radar Leshan, cf. encadré 1) dont on dit qu’il est plus performant que celui du Japon1.
郭正亮
Taïwan – Chine – États-Unis : Une guerre possible à Taïwan ? « L’Ukraine aujourd’hui, Taïwan demain » ?
L’attaque de la Russie contre l’Ukraine a pu faire peur aux Taïwanais. Mais la Chine a-t-elle les moyens de reprendre Taïwan par la force ?
Taïwan – Chine – États-Unis « Acte III scène 4 » : Nancy Pelosi annule son voyage à Taïwan
斐洛西取消訪問台灣
À l’occasion du 43e anniversaire du Taiwan Relations Act (TRA*) signé en 1979, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, avait l’intention de se rendre à Taipei pour démontrer, comme a pu dire le MOFA*, le soutien du Congrès américain à Taïwan ainsi que l’importance qu’il attache aux relations américano-taïwanaises. Il y a déjà eu un précédent (3e crise dite du détroit de Taïwan 1995-1996) lorsque Lee Teng-hui, alors président de la république de Chine (Taïwan) s’était rendu aux États-Unis pour une réunion d’anciens élèves de l’université Cornell (9 juin 1995) : en réponse, Pékin avaient envoyé deux salves de missiles balistiques, une au nord et l’autre au sud de Taïwan, au large des côtes, comme un avertissement.
Taïwan – États-Unis : Stratégie américaine de la terre brûlée ? Autodestruction de TSMC par dynamitage ?
美國的焦土戰略:台積電自我炸毀?
En cas d’invasion chinoise à Taïwan, des experts américains de la stratégie recommandent l’autodestruction de l’usine taïwanaise de semi-conducteurs TSMC.