Lors du Conseil européen des 22 et 23 juin 2017, le président français Emmanuel Macron a proposé de créer un mécanisme de surveillance des investissements des pays tiers dans l’Union européenne, particulièrement lié à la surveillance des investissements chinois en Europe et en France. Cependant, malgré une augmentation sans précédent des investissements directs à l’étranger sortants (IDES) de la Chine en Europe en 2016, le « groupe de Visegrad » (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) en a refusé l’idée. Pourquoi ?