Le président Jokowi se trouve, à un peu plus de la moitié de son mandat, dans une position délicate : les courants musulmans fondamentalistes jouent de plus en plus habilement des ouvertures démocratiques pour se faire entendre dans l’espace public et critiquer les politiques engagées par son Administration. Pour ralentir leur progression, le président doit avancer des résultats tangibles ; ce qu’il ne peut pas faire sans les investissements chinois, dont l’ampleur est dénoncée par les mêmes radicaux. Comment résoudre ce dilemme ?