Pékin a annoncé que ses taïkonautes se poseront sur la Lune dans six ans.
La Chine a aidé l’Éthiopie à entreprendre deux lourdes opérations d’infrastructure de transport : le chemin de fer léger de l’agglomération de la capitale et la liaison ferroviaire Addis Abeba-Djibouti. Plusieurs années de fonctionnement autorisent à en tirer les leçons, mitigées. Les Nouvelles routes de la soie les comptent dans un programme que n’accompagnent plus les trompettes de Pékin.
China has helped Ethiopia undertake two major transport infrastructure operations: the Capital City Light Railway and the Addis Ababa-Djibouti Rail Link. Several years of operation allow us to draw lessons, mixed. The New Silk Roads include them in a program that no longer accompanies the trumpets of Beijing.
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Le 10 avril 2019, 248 députés et sénateurs ont déposé devant l’Assemblée nationale une « Proposition de loi visant à affirmer le caractère de service public national de l’exploitation des aérodromes de Paris »[1].
Venant dans les fourgons des chemins de fer, autoroutes et autres gazoducs, la Route de la soie numérique et la mise en œuvre du « crédit social » pourraient être lourdes de conséquences socio-politiques en réduisant la capacité d’action dans les espaces démocratiques naissants.
Coming into the vans of railways, highways and other pipelines, the Digital Silk Road and the implementation of “social credit” could be fraught with socio-political consequences by reducing the capacity for action in nascent democratic spaces.