Après les restrictions relatives au Japon, Taïwan et la Corée du Sud, les touristes chinois ont appris qu’ils devaient rayer une nouvelle destination de la carte de leurs périples de masse : le Vatican. Une telle décision traduit deux choses : la manière dont la Chine utilise les touristes comme moyens de pression économique pour influencer sur les décisions politiques d’un État et la difficulté des relations entre la république populaire de Chine et le Saint-Siège et ce malgré les annonces répétées d’une amélioration de leurs relations (qui pourraient faire perdre à la république de Chine (ou Taiwan) la reconnaissance de son identité politique par le Vatican).