Chine – Afrique
- Angola: recrutement
Chine – Afrique
L’Inde et la Chine, les deux principaux partenaires pétroliers de l’Iran, ont décidé, en l’espace d’un mois, d’ajuster leurs relations avec Téhéran, bravant les risques de sanctions américaines.
Depuis l’incident naval survenu le 30 septembre 2018 entre une frégate américaine, l’USS Decatur et un navire lance-missile chinois, le Lanzhou, dans le secteur des rochers South Johnson et Gaven, occupés, aménagés et militarisés par les Chinois dans les Spratleys, la période écoulée depuis la date de l’incident se caractérise par des invectives, des menaces réciproques d’amplification d’actes agressifs. Mais en même temps s’affichent des velléités de dialogue afin de tenter de circonscrire les risques d’escalades armées.
Depuis 1996, les réunions entre une cinquantaine de pays d’Europe et d’Asie se succèdent pour s’efforcer de tisser des liens de coopération et de compréhension sinon d’actions communes. Le climat géopolitique dans lequel vient de se tenir le 12e sommet de l’ASEM (Asia-Europe Meeting) est marqué par des tensions entre les États-Unis et la Chine, le rejet du multilatéralisme par l’administration Trump et l’avènement d’une prise de conscience : la détérioration de l’environnement représente un danger pour l’humanité. Il est symptomatique de voir que dans ce contexte, ces pays si différents ont su adopter une attitude commune responsable.
Chine – Afrique
Le conflit sino américain contraint le gouvernement coréen à revoir son programme de réforme.
Lancement par la Chine d’un satellite franco-chinois
Alors que la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine s’intensifie et pourrait devenir la nouvelle norme des relations entre les deux puissances, la situation pousse la Chine à rechercher et développer des alternatives. Cette situation pourrait être riche en succès pour les entreprises européennes, même si elle est au contraire de nature à accroître la pression sur certains secteurs industriels.
La disparition de Meng Hongwei, le président chinois d’Interpol fin septembre 2018 avait soulevé une indignation mondiale. La déclaration par Pékin de sa condamnation pour corruption semble relever presque du phénomène rituel. Cette affaire montre que, pour la Chine, le regard occidental sur le pays ne saurait limiter de quelque manière le but ultime de « stabilité » du régime.
The disappearance of Meng Hongwei, the Chinese president of Interpol, at the end of September 2018 had raised a global indignation. Beijing’s statement of its conviction for corruption seems almost to be a ritual phenomenon. This case shows that, for China, the Western view on the country should not in any way limit the ultimate goal of the “stability” of the regime.
La bataille contre la Chine n’est pas la première que Washington engage en Asie. Mais à la différence du conflit commercial avec le Japon des années 1980, les États-Unis font face à un pays qui peut dire non. Est-on au début d’une guerre commerciale de vingt ans, comme le prédit Jack Ma, le patron d’Alibaba ? … Lire la suite
Questions internationales no 93 – Septembre-octobre 2018 DOSSIER La Chine au coeur de la nouvelle Asie Jean-Raphaël Chaponnière a été ingénieur au CNRS, chercheur à l’ISEAS (Singapour), expert au National Economic Board (Bangkok), chercheur à l’INSEAD, conseiller économique en Corée et en Turquie, et économiste à l’AFD. Il est membre d’Asie21 (Futuribles). Le conflit commercial qui … Lire la suite
Aux prises à des critiques de plus en plus nombreuses de la part des partenaires et des opposants à son Initiative ceinture et route (BRI), la république populaire de Chine est contrainte d’adapter sa stratégie. La participation, envisagée, de l’Arabie saoudite au couloir économique Chine-Pakistan (CPEC) s’inscrit dans cette logique.
沙特阿拉伯參與中巴經濟走廊
中國的"一帶一路"倡議,由於正遭到越來越多的批評,乃至於反對,因此迫使中國不得不調整其策略,而沙特阿拉伯有意參與中巴経済走廊,正合中國之意!
2018年9月20日,巴基斯坦新聞部長喬德里宣布,沙特阿拉伯將參與中巴經濟走廊,有関詳情,要等到一支沙特阿拉伯代表團,來到伊斯蘭馬巴德之後,才能揭曉,而該代表團,就是負責與巴國談判,以便制訂一項臨時性的經濟伙伴協定。沙國有意在中巴經濟走廊,投資一百億美元,以做為瓜達爾港周邊石油設施建設的指標性項目。
La Chine a désigné deux cours de justice à Shenzhen et Xian pour juger les litiges liés aux projets des nouvelles Route de la soie et a fait appel à une trentaine d’experts chinois et internationaux, pour la conseiller sur les différents aspects de ces litiges.
Chine – Afrique Angola : accords : Chinois et Angolais étaient tombés d’accord pour ne pas signer de nouveaux contrats durant la FOCAC, préférant les reporter en bilatéral lors de la prochaine visite de João Lourenço à Pékin en octobre 2018. Bien que les prévisions portent sur onze nouveaux milliards de dollars de crédit – soit … Lire la suite
La visibilité croissante de la présence de la Chine dans l’océan Indien constitue un véritable défi stratégique pour l’Inde dans une région qu’elle estime sienne. Les élections dans les États maritimes de cette zone, hier à Sri Lanka, aujourd’hui aux Maldives, sont un marqueur de l’évolution de leurs relations avec l’Inde et la Chine continentale.
L’Himalaya sépare deux géants, l’Inde et la Chine, les deux pays les plus peuplés du monde. L’Inde cherche à maintenir son influence au Népal et au Bhoutan mais la Chine s’implante de plus en plus au Népal tout en déployant des efforts pour développer ses liens avec le Bhoutan. Les excellentes relations qu’elle entretient avec le Pakistan, hostile à l’Inde, lui permettent d’être très présente dans la partie ouest de l’Himalaya.
Face à une Chine qui continue à prétendre s’arroger la quasi-totalité de la mer de Chine du Sud, et qui par-là présente une réelle menace potentielle contre la liberté de la navigation internationale sur et au-dessus de cette mer, plusieurs États, foncièrement attachés au respect du droit de la mer, entendent contraindre Pékin à tenir les engagements liés à sa ratification de la CNUDM. Et aussi à s’aligner sur le verdict du 12 juillet 2016 de la CPA, verdict qui invalide ses prétentions fondées sur le tracé en neuf traits.
L’influence, réelle ou supposée, de la Chine dans les pays où ses sociétés investissent ou s’implantent est devenu un sujet électoral majeur dans de nombreux pays. Australie, Malaisie, Kirghizistan, Burkina Faso etc., les exemples se multiplient. Si certains s’emparent de façon opportuniste du sujet, il n’en demeure pas moins que les conséquences sont loin d’être négligeables pour Pékin.
La Chine a signé un accord le 22 septembre 2018 avec le Vatican. Il porte sur la nomination conjointe des évêques. L’initiative est risquée mais devrait à terme intégrer l’église souterraine dans « l’église patriotique des catholiques chinois ». Le pape s’efforce de développer le catholicisme en Chine où les catholiques n’y sont que 12 millions. Son initiative est critiquée car elle rompt avec la tradition de méfiance des catholiques envers les pays communistes.