Un nouveau scandale est venu secouer une présidence sud-coréenne déjà affaiblie par de mauvais résultats économiques et la défaite du parti présidentiel aux élections législatives d’avril 2016. Un fort mouvement spontané et populaire appelle au départ de la Présidente Park Geun-hye. Si cette dernière arrive à se maintenir au pouvoir jusqu’à la fin de son mandat, la dernière année de sa présidence risque fort d’être « une année perdue » pour le pays.