L’Australie commence à douter de la faisabilité du programme de sous-marins nucléaires de l’alliance Aukus*. Face aux incertitudes croissantes liées aux coûts, aux délais et aux contraintes technologiques du projet et surtout aux éventuels revirements du partenaire américain, le pays pourrait être amené à envisager une solution alternative. Si la France peut se (re)positionner comme un partenaire évident, elle n’est pas la seule. Le Japon est déjà à la manœuvre.