
Chine-Amérique : jusqu’où peut aller le divorce orageux d’un vieux couple ?

En souhaitant la présence de la Chine, aux côtés de la Russie, lors des discussions sur le renouvellement des traités START, Donald Trump vient de la reconnaître comme la troisième grande puissance nucléaire. Il espère ainsi inciter la Chine à peser de tout son poids pour que la Corée du Nord revienne à la table des négociations. C’est à la fois une promotion inespérée pour la Chine et un gaspillage diplomatique car, même si elle le souhaitait, la Chine ne pourrait pas infléchir la détermination de la Corée du Nord, qui est aujourd’hui en position de force.
While he wished China to sit besides Russia at the discussions on the START treaties renewal, Donald Trump acknowledged this country as the third major nuclear power. In this way, he hopes to urge China to exert all its influence on North Korea to bring it back to the negotiations table. It appears as both an unexpected promotion for China, and a diplomatic waste, as China, even if it was willing to, couldn’t bend North Korea’s determination, which holds today a strong position.
為了新一輪的"戰略武器限制談判",美國縂統川普甫認定,由於中國已是第三個核子武器大國,因此希望中國與俄國,一道參加此項談判。
BRICS : Plan crypto Suite à une proposition de la Russie, le Business Council des pays regroupés dans les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) […] Chine – Afrique Angola : argutie La diplomatie chinoise soutient que, contrairement à […] Angola : chemin de fer Isabel dos Santos porte-parole Lors d’un récent séjour … Lire la suite
Le régime communiste chinois a fêté ses 70 ans en octobre. C’est l’occasion d’apprécier ses chances de durer encore plusieurs décennies. Une comparaison avec l’URSS qui s’est effondrée après cette durée de 70 ans est favorable à la Chine qui a de meilleurs atouts pour survivre à cet anniversaire.
Hong Kong est le théâtre d’affrontements, violents, depuis six mois. La campagne pour les présidentielles est lancée à Taïwan. Quelle relation existe-t-il entre l’ancienne colonie britannique et l’île de beauté ? La guerre Occident-Chine a déjà commencé.
Faussement comprise comme une nouvelle foucade d’un président américain décidément imprévisible, la rupture des pourparlers politiques entre Américains et islamistes radicaux afghans fait naître une nouvelle période d’incertitude dans le pays qui est à la veille d’une élection présidentielle elle-même porteuse de risques.
L’« Affaire Huawei » connaît des rebondissements.
The « Huawei Affair » knows twist. // El «Caso Huawei » todavía reserva sorpresas. // O « Caso Huawei » não deixa de chamar a atenção. // 华为事件层出不穷. // 華為事件層出不窮.
Xi Jinping a besoin d’un « deal » avec Donald Trump. La Chine est aux abois dans la guerre commerciale avec les États-Unis. C’est ce qu’on lit chez les commentateurs. A Pékin, c’est aussi l’heure des grandes manoeuvres. Au coeur des enjeux, l’investissement et les hautes technologies.L’histoire contemporaine chinoise montre que les années en 9 sont souvent agitées. À quelques jours du Nouvel an, dans un discours aux cadres du Parti, Xi Jinping a évoqué deux animaux qui pourraient secouer l’année du Cochon : le cygne noir – un événement imprévisible – et le rhinocéros gris – un risque évident mais souvent négligé.
Exemplaire de la guerre à la fois technologique et commerciale que se livrent les deux principales puissances mondiales, la récente « Affaire Huawei » mérite d’être approfondie.
Being a technological and commercial conflict between the United States and China, the « Huawei Affair » deserves a closer look.
L’Inde et la Chine, les deux principaux partenaires pétroliers de l’Iran, ont décidé, en l’espace d’un mois, d’ajuster leurs relations avec Téhéran, bravant les risques de sanctions américaines.
La bataille contre la Chine n’est pas la première que Washington engage en Asie. Mais à la différence du conflit commercial avec le Japon des années 1980, les États-Unis font face à un pays qui peut dire non. Est-on au début d’une guerre commerciale de vingt ans, comme le prédit Jack Ma, le patron d’Alibaba ? … Lire la suite