Le 4 octobre 2024, Ursula von der Leyen a déclaré avoir « obtenu le soutien nécessaire des États membres de l’UE pour l’adoption de tarifs douaniers ». Le montant des taxes perçues est censé corriger les subventions versées par la Chine à ses constructeurs nationaux exportateurs (calcul de la CE). Le « couple franco-allemand », malgré une rencontre Macron – Scholz le 1er octobre à Berlin, s’est dissocié. La France pour et l’Allemagne contre, tout un symbole de l’UE. La Chine a rétorqué immédiatement en taxant immédiatement les importations de brandys. La guerre commerciale est engagée, la victoire de l’UE sera à la Pyrrhus, et, outre ses coûts, elle « renforcera l’aliénation en évacuant la réalité »1.