Le contraste interroge. D’un côté, les pays européens ouvrent leurs portes aux touristes européens. De l’autre, l’Asie, première région touchée par la pandémie avec un nombre de cas bien moins élevé qu’en Europe ou aux États-Unis, tarde à s’ouvrir aux voyageurs internationaux, y compris aux Asiatiques. Faute d’un accord régional, les pays multiplient les initiatives pour négocier des corridors de transport, des « bulles » à l’intérieur desquelles les voyageurs ne seront pas soumis aux exigences de quarantaine.