Les autorités américaines envisagent de placer la société chinoise Hikvision sur l’US Specially Designated Nationals and Blocked Persons List, après l’avoir inscrite en 2019 sur l’Entity List.
Les autorités américaines envisagent de placer la société chinoise Hikvision sur l’US Specially Designated Nationals and Blocked Persons List, après l’avoir inscrite en 2019 sur l’Entity List.
Faute d’avoir conclu un deal, les États-Unis pourraient se contenter de signer un armistice.
FAITS Après l’échec des négociations avec la Chine, les États-Unis ont porté à 25 % les droits de douane sur 200 milliards de dollars d’importations chinoises et ont lancé les enquêtes sur la généralisation de cette hausse à 300 milliards de dollars supplémentaires – incluant tous les biens de consommation – qui fera l’objet d’une audition publique le 17 juin 2019.
C’est pour écarter des risques de cybersécurité avérés, et potentiellement désastreux, que le Congrès des États-Unis a adopté, en 2018, une loi écartant les entreprises chinoises du marché informatique fédéral, le premier au monde. Plutôt que de rechercher un compromis, la société Huawei, à tout le moins encouragée par le gouvernement chinois, a engagé le fer avec le gouvernement américain. Ce combat absurde a été perdu aussitôt qu’engagé. Il ne reste plus aux matériels informatiques chinois que des marchés de second rang.
With a view to address effective and potentially lethal cyber-security risks, the US Congress passed a law meant to ban Chinese companies from the federal market, the first in the world. Rather than compromise, Huawei, supported at least by the Chinese Government, started a duel with the US Government. The fight was a nonsense, lost as soon as engaged. The Chinese computing is left with second class markets.