Australie – France – Inde : Premier dialogue trilatéral

Le premier dialogue trilatéral entre l’Australie, la France et l’Inde s’est tenu par visioconférence le 9 septembre 2020.

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Grappillages Asie21 n° 142/2020-09

Bangladesh – Mozambique   Un groupe influent

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Bangladesh – Inde – Chine : La Teesta, une rivière qui divise et qui unit ou L’eau dans la diplomatie du Bangladesh

Le Bangladesh et la Chine ont conclu un accord pour construire un barrage sur la rivière Teesta, affluent du Brahmapoutre. Ainsi, le Bangladesh sera moins tributaire de l’Inde d’où provient ce cours d’eau et pourra mettre en valeur sa partie septentrionale.

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Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n° 142/2020-09 – sommaire

1ÉVÉNEMENTS MAJEURS RÉCENTS ET ENJEUX DE DEMAIN

EXTRÊME-ORIENT

Chine Comment nourrir la Chine demain ? Maurice Rossin, Asie21

Encadré 1 Données de base en volume sur les agricultures de Chine, États-Unis, Brésil et Russie

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Japon : Un intérêt croissant pour l’Indo-Pacifique

Le Japon a décidé de renforcer les capacités de son Bureau de politique de défense avec l’objectif d’améliorer sa coordination en matière de défense avec l’Inde, l’Australie et certains pays d’Asie du Sud-Est.

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Iran – Chine – États-Unis : Sanctionné par les États-Unis, l’Iran se rapproche de la Chine

L’Iran et la Chine envisagent de conclure un accord de partenariat, lequel est contesté par une partie de la classe politique iranienne. S’il est signé, la présence chinoise se renforcera dans de multiples domaines : banques, énergie, transports, télécommunications. La Chine importera du pétrole à des prix inférieurs au cours mondial. Des zones de libre échange seront édifiées à Maku dans le nord-ouest de l’Iran, à Abadan à l’embouchure du Shatt al-Arab et sur l’île de Qeshm dans le golfe Persique. La Chine accèdera au port de Jask, port stratégiquement bien situé à l’entrée du golfe Persique. Elle proposera le réseau 5 G de même que le système de géolocalisation par satellite Beidou.

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Asie du Sud : Les services de renseignement

Les pays d’Asie du Sud entretiennent entre eux des relations difficiles. Il est donc logique que leurs services de renseignement aient comme priorité les États voisins. Les domaines privilégiés concernent les problèmes politiques et sécuritaires. La lutte contre le terrorisme constitue une priorité pour tous les pays d’Asie du Sud. Le domaine économique reçoit une attention plus restreinte. La recherche du renseignement est facilitée par le fait que les pays sud-asiatiques partagent une même histoire et une même culture et que leurs habitants parlent des langues apparentées.

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Grappillages Asie21 n° 141/2020-07 & 08

Chine – Afrique Angola : chasseurs Côte d’Ivoire : cacao Mozambique : télévision par satellite Nigeria : l’AK-47 enfin Chine – Asie centrale BRI et environnement Chine – Canada Pion ? Chine – États-Unis À Chinois… Inde – Portugal Goanais en force Taïwan : Somaliland. But ! Timor oriental – CPLP Prochain secrétaire exécutif   Extrait de … Lire la suite

Inde – Chine : La bataille de Karakoram a commencé

Les dialogues se poursuivent entre Indiens et Chinois et aboutissent à certains retraits des troupes au contact dans la vallée de la Galwan et sur les rives du lac Pangong. En réalité, les Chinois consolident leur présence sur les territoires récemment conquis. Les Indiens, désormais acculés, ne peuvent plus céder davantage de terrain, sous peine de laisser les Chinois contrôler l’accès sud du col de Karakoram et rejoindre le glacier de Siachen, où la jonction avec les Pakistanais pourrait se faire.

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Taïwan – États-Unis – Chine : La Chine a-t-elle réellement l’intention de prendre les îles Dongsha (Pratas) ? Coopération militaire taïwano-américaine renforcée et affichée

中國真的會攻佔東沙群島嗎?台灣與美國加強軍事合作

Situé stratégiquement sur l’axe maritime Sanya (Hainan) – océan Pacifique en passant par le détroit de Bashi d’une part et Chine du  Nord – Asie du Sud-Est d’autre part, l’atoll Dongsha aiguise encore plus les intérêts de Pékin et Washington. Si les États-Unis sillonnent toute la zone, de Guam à Hainan, avec leurs groupes aéronavals, la nouveauté est qu’il en est de même pour la Chine. Dans ce contexte, sa situation stratégique en fait un point de conflit potentiel entre la Chine et les États-Unis. Dongsha dépend de la municipalité de Kaohsiung. La Chine veut-elle (re)prendre Dongshaqundao ? Les États-Unis ont-ils la volonté de se battre pour Taïwan ? En réalité, Taïwan n’est qu’une carte du jeu américain. À travers une guerre de l’information, les deux puissances montrent leurs muscles.

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Chine – Mer de Chine du Sud : Quand la Chine s’apprête à extorquer une portion de l’espace aérien international

La menace chinoise de création d’une zone d’identification et de défense aérienne au-dessus de la mer de Chine du Sud est toujours d’actualité et peut être mise à exécution du jour au lendemain, sans préavis. Ce sera un pas de plus dans la mainmise de la Chine sur cet espace marin et aérien international en tant que tout. Ce sera aussi un nouveau défi au droit international de la mer et contre ceux qui le défendent.

The Chinese threat to create an air defense and identification zone above the South China Sea remains genuine and can be implemented at any time without any prior notice. That will be a new step forwards towards the full Chinese grasp over that international area as a whole, sea and air above all included, and a new defiance against the primacy of the international law of the sea and against all those who are defending that law.

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Chine – Mer de Chine du Sud : Quand la Chine s’apprête à extorquer une portion de l’espace aérien international

La menace chinoise de création d’une zone d’identification et de défense aérienne au-dessus de la mer de Chine du Sud est toujours d’actualité et peut être mise à exécution du jour au lendemain, sans préavis. Ce sera un pas de plus dans la mainmise de la Chine sur cet espace marin et aérien international en tant que tout. Ce sera aussi un nouveau défi au droit international de la mer et contre ceux qui le défendent.

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Relocalisation ou délocalisation ? Quand les entreprises étrangères quittent la Chine

Des ouvriers chinois dans une usine de fabrication de masques à Shanghai, le 31 janvier 2020. (Source : Echos)
Des ouvriers chinois dans une usine de fabrication de masques à Shanghai, le 31 janvier 2020. (Source : Echos)
Les délocalisations des entreprises américaines et japonaises s’expliquent en deux mouvements. Le premier naît de la hausse de droits de douane des États-Unis sur un certains nombre de produits made in China. Le second a été déclenché par les annonces de l’administration Trump appelant à découpler les économies chinoises et américaines. Il a été renforcé par la pandémie qui a révélé la forte dépendance de nombreuses filières aux fournitures chinoises. L’objectif de ces délocalisations est très rarement une relocalisation aux États-Unis ou au Japon de productions réalisées en Chine, mais la réorganisation des chaînes globales de production en Asie du Sud-Est, notamment en Indonésie.

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Grappillages Asie21 n° 140/2020-06

Chine – Afrique

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Inde – Chine : Les arrière-pensées de la Chine dans l’Himalaya

En l’absence d’accord définissant les frontières qu’elle ne veut pas conclure avec l’Inde dans l’immédiat, la Chine grignote des territoires himalayens, notamment en Aksai Chin dans le but non avoué de s’implanter au sud du col de Karakoram, voire au delà. C’est un bras de fer entre les deux pays mais qui ne débouchera pas sur un conflit armé.

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Asie : Le futur des échanges internationaux, quel impact sur l’Asie émergente ?

L’épidémie et la crise économique provoquent une contraction du commerce mondiale et ralentiront la dynamique des échanges de biens et services pendant plusieurs années.

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Coronavirus en Inde : l’exception du Kerala, ses soins ayurvédiques et sa stratégie frugale

À travers "Break the chain", sa campagne de communication, de tests et de traçage, l'État indien du Kerala a maintenu très bas le nombre de décès dus au Civd-19. (Source : Daily Star)
À travers « Break the chain », sa campagne de communication, de tests et de traçage, l’État indien du Kerala a maintenu très bas le nombre de décès dus au Civd-19. (Source : Daily Star)
C’est un cas à part en Inde. Dans un pays verrouillé depuis le 25 mars 2020 et qui se prépare à sortir de la quarantaine, la pandémie de coronavirus continue de se propager avec un nombre de cas en hausse. Le Kerala était en mars l’État indien le plus touché. Il a pourtant jugulé l’épidémie en trois semaines grâce à une stratégie à bas coût, « frugale » dirait-on ici. Elle s’appuie sur un système de santé décentralisé et sur la médecine ayurvédique. Si le retour des travailleurs émigrés a déclenché une seconde vague de contaminations, le nombre de décès a peu augmenté.

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