Après le mouvement des Tournesols à Taïwan et le mouvement des parapluies à Hong Kong en 2014, la « résistance » au « dogme » de la Chine unique a pris durant l’année 2016 une nouvelle dimension non plus simplement sociale mais véritablement politique avec l’élection du New Power Party à Taïwan et des élus indépendantistes à Hong Kong. Quelles sont les chances de convergence pour ces deux mouvements de résistance à l’emprise impériale de la Chine populaire ? Quels appuis peuvent-ils recevoir dans leur volonté de proposer un mode de gouvernance plus démocratique au sein du monde chinois ?