Au début de l’automne 2024, l’Agence spatiale chinoise des vols habités a annoncé que deux nouveaux cargos desserviraient sa station Tiangong-3, l’un d’eux est un avion spatial.
Au début de l’automne 2024, l’Agence spatiale chinoise des vols habités a annoncé que deux nouveaux cargos desserviraient sa station Tiangong-3, l’un d’eux est un avion spatial.
L’Inde a réaffirmé ses ambitions spatiales dans le domaine des vols spatiaux habités avec une annonce spectaculaire.
« La Turquie est une partie de l’Europe » disait W. Hallstein1 en signant l’accord d’association avec la Turquie en 1963. Mais les portes de l’Europe lui sont restées fermées alors qu’elle avait déposé sa demande d’adhésion en 1987, et de pays candidat en 1999.
L’Europe est passée de 6 à 27 membres, la candidature turque a été gelée alors que l’Asie, devenue la locomotive de l’économie mondiale, attirait la Turquie dans ses rets.
« Nous aimerions devenir membre des BRICS, cela pourrait être une bonne alternative à l’Union européenne », déclare le ministre des Affaires étrangères turc à l’issue d’une visite au Xinjiang et en Chine.
La marche turque vers l’est ressemble à un retour aux sources d’un peuple qui veut valoriser les liens que son histoire a tissés avec la Chine, l’Inde, la Russie, l’Iran et l’Arabie saoudite, dans le monde autre qu’unipolaire de l’Occident.
La géopolitique mondiale rappelle le poids de l’Histoire des peuples et combien « les faits sont têtus ».
La Chine n’a pas fini de nous étonner avec son programme spatial. De nouvelles pratiques sont apparues dans l’exploitation de ses petits laboratoires habités Tiangong-1 et 2, et de la nouvelle station modulaire Tiangong-3. Asie21 revient sur ces nouvelles tendances qui vont peut être se développer ailleurs.