Jadis 4e plus grand espace maritime fermé du monde, celle qu’on appelait « la mer d’Aral » a perdu 75 % de sa superficie, et 90 % de son volume, amenant tous les spécialistes à la considérer comme définitivement perdue. Pourtant, dans sa partie septentrionale, dite « Petite mer », le niveau de l’eau remonte, et une économie marine redémarre modestement. L’Aral serait-elle sauvée ?