Asie – États-Unis Immigrants
Chine – Afrique
- Angola : le prix de la dette
- Angola : soupçons
- Guinée Bissau : pêche
Asie – États-Unis Immigrants
Chine – Afrique
Chine – Afrique Médiation dans la Corne ? Angola – États-Unis : cuivre Mali – Corée du Sud : blindés à tout va Madagascar : avancées Sao Tomé-et-Principe : mandarin et pingpong, armes non létales Du boeuf au poulet Chine – Brésil Mode Chine – Russie – Ukraine Blé Une aubaine Inde – Mozambique Rapts Japon – Madagascar Chacun … Lire la suite
Chine Arrogance Chine – Angola – Philippines Un port disputé Chine – Guinée équatoriale Pénétration Chine – Macao Les jeux sont faits Chine – Macao Pas en avant au Forum Chine – Mozambique Longtemps attendu Mozambique – Chine – Corée du Sud Livraison Chine – Nouvelle-Calédonie Expectative Japon – Sao Tomé-et-Príncipe Une aide attendue Timor … Lire la suite
Chine – Afrique Angola : Main dans le sac passeports Mozambique : Appel à l’aide Sao tomé-et-Principe : Virage Chine – Corée du Sud – Qatar Course aux méthaniers Chine – Équateur – Pérou Pêche Chine – Europe Une première Chine – Macao Prémices Chine – Macao – CPLP Nomination Chine – Portugal – États-Unis … Lire la suite
Chine – Afrique Angola : renouveau La Chine vient d’annoncer officiellement qu’elle acceptait de restructurer la dette angolaise à son égard. Pékin se prépare […] Angola : dette Guinée équatoriale : satellite Guinée équatoriale – Corée du Nord : stagiaires Mozambique – Russie : chasseurs russes et non chinois Chine – … Lire la suite
Activités navales :
Saisissant la fenêtre d’opportunité qu’offre la sidération provoquée par la crise du coronavirus dans le monde, la Chine profite de cet avantage pour accentuer ses activités destinées à renforcer sa domination en mers de Chine de l’Est, du Sud et dans toute la périphérie maritime de Taïwan. Mais c’est sans compter la capacité de résilience américaine.
Taking advantage of the opportunity of the amazement caused by the coronavirus crisis in the World, China increases its activities in order to reinforce its domination in the East and South China seas and all around Taïwan. But that was without taking into account the US capacity of resilience.
Chine – Afrique Angola : du Covid-19 Djibouti : avancée Égypte – Éthiopie : médiation Golfe de Guinée : rançon Chine – Portugal – Afrique Investissement Chine – Taïwan – Sao Tomé-et-Principe Politique et paludisme Chine – Union européenne – Mauritanie Aides militaires Inde – Gabon Manganèse Timor oriental Par douzièmes Extrait de la Lettre confidentielle Asie21-Futuribles n°136/2020-02 … Lire la suite
Chine Afrique Un fléau Angola Un pied dans la sécurité formation intervention Cap-Vert Huawei par la porte dérobée São Tomé-et-Principe L’emprise est là Chine – Canada Huawei pose question Chine – Union européenne – Grèce Tir dans le pied ? Chine – Djibouti Rixes Chine – Portugal Macao, vingt ans après Inde – Kazakhstan Uranium … Lire la suite
BRICS : Plan crypto Suite à une proposition de la Russie, le Business Council des pays regroupés dans les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) […] Chine – Afrique Angola : argutie La diplomatie chinoise soutient que, contrairement à […] Angola : chemin de fer Isabel dos Santos porte-parole Lors d’un récent séjour … Lire la suite
Ce 2 mai 2019, la Chine a publié son moratoire annuel sur la pêche dans l’ensemble des mers chinoises ou considérées telles, la mer de Chine du Sud en particulier. Par-là, elle interdit d’autorité à ses pêcheurs ainsi qu’à ceux de tout pays de venir exercer leurs activités sur les différents bassins. Prise sans concertation avec les autres pays, la décision provoque de forts mécontentements parmi les usagers autres que chinois. Même si du point de vue écologique l’intention est louable, il n’en reste pas moins que, prise unilatéralement, elle est arbitraire et abusive puisqu’elle ne s’applique pas aux eaux strictement chinoises mais aussi à celles de ses voisins de la Chine.
On the 2nd of May 2019, China published its yearly moratorium on fishing activities over all the Chinese seas, or considered as such, particularly the South China Sea. That way Peking authoritatively forbids to its fishermen, and to those of other countries as well, to come and operate in the different determined areas. Taken without any consultation with anyone, the decision generates strong discontents among the users other than Chinese. Even if the basic purpose, observed through the lens of ecological considerations, can be highly commendable, it remains arbitrary and abusive since it does not apply to the very Chinese waters only but to all of the Chinese neighbors’ surrounding ones.
La Chine poursuit ses activités de pêche illégale près des Galapagos.
中国继续在加拉帕戈斯附近进行非法捕鱼活动.
China sigue pescando ilegalmente al limite de la ZEE del Ecuador.
A China continua a pesca ilegal nas águas equatorianas.
Chinese illegal fishing on the Galápagos.
Quelque 275 bateaux des milices navales chinoises sont massés à proximité immédiate de l’île de Thitu, occupée par les Philippins, et font craindre, à un moment qui pourrait être plus proche que l’on pourrait le penser, une tentative de conquête chinoise par la force. À la suite de la récente visite de Mike Pompeo à Manille, le problème est posé aux Américains de savoir s’ils doivent anticiper la possible action chinoise et adopter une attitude préemptive. Celle-ci pourrait se traduire par le positionnement de moyens navals à proximité immédiate de Thitu pour dissuader les Chinois de toute intention de conquête.
Some 275 boats from the Chinese naval militias are massed in the immediate vicinity of Thitu island, occupied by the Philippines. Such a preoccupying situation may lead to consider the potentiality of a violent attack from the Chinese side, possibly at a closer time than one could think, against the island. After Mike Pompeo’s recent visit to Manila the Americans are, in such a present situation, facing the problem to decide or not to adopt a preemptive attitude by prepositioning some naval means in the immediate vicinity of Thitu in order to deter the Chinese side to act.
Asie Règne du conteneur
Le 2 août 2018, lors de la déclaration d’ouverture de la 51e réunion des ministres des Affaires étrangères des dix pays de l’ASEAN (MAE ASEAN) et de la Chine, à Singapour, a été annoncée l’adoption d’une ébauche commune unique de code de conduite des parties (COC) en mer de Chine du Sud. Cet événement a été salué comme un débouché majeur vers les négociations à venir. Mais tant que la Chine maintiendra le tracé en neuf traits pour délimiter ses prétentions en mer de Chine du Sud, les dix pays de l’ASEAN vont finalement négocier avec Pékin le système des sanctions qui s’appliqueront contre eux dès lors que, bien qu’opérant dans leurs propres zones économiques exclusives (ZEE), ils exerceront leurs activités dans la « langue de buffle ». Parce qu’ils seront ainsi considérés par la Chine comme contrevenant au COC.
Une des dernières initiatives de la Chine, consiste à convaincre les pays situés en aval du fleuve Mékong, de lui permettre de prendre les mesures nécessaires à ce qu’elle appelle « l’amélioration de la navigation » sur son cours.
Les Ijaw, ethnie de quelque 15 millions de membres qui vit principalement – souvent sur pilotis – dans le delta du Niger, zone de marécages et mangroves, riche en poissons et en pétrole, s’apprêtent à reprendre des actions militaires […]