Chine – Afrique
L’absence d’appel d’offres international pour les centrales thermiques construites par la Chine au Pakistan se traduit par un prix excessif de l’électricité vendue au secteur public et pèse indûment sur une économie fragile.
Très courtisés l’année dernière par Pékin et Washington, les États fédérés de Micronésie, de par leur position géographique, représentent un enjeu considérable pour les deux grandes puissances riveraines du Pacifique. Chuuk, l’un des États membres de cette fédération, de par ses velléités d’indépendance pourrait-il être le maillon faible susceptible de faire basculer une mare nostrum américaine dans le camp chinois ? À moins que ce ne soit les États fédérés de Micronésie ?
Saisissant la fenêtre d’opportunité qu’offre la sidération provoquée par la crise du coronavirus dans le monde, la Chine profite de cet avantage pour accentuer ses activités destinées à renforcer sa domination en mers de Chine de l’Est, du Sud et dans toute la périphérie maritime de Taïwan. Mais c’est sans compter la capacité de résilience américaine.
Taking advantage of the opportunity of the amazement caused by the coronavirus crisis in the World, China increases its activities in order to reinforce its domination in the East and South China seas and all around Taïwan. But that was without taking into account the US capacity of resilience.
Par le général (2s) Daniel Schaeffer, membre du groupe de réflexion Asie21
24 avril 2020
(Reproduction intégrale par tout média intéressé,
autorisée avec prière de mentionner la source)
Autant il apparaît inconcevable d’accuser la Chine d’avoir sciemment déclenché la guerre biologique toujours en cours, autant est-il, au contraire, tout à fait concevable qu’elle l’ait provoquée accidentellement, en laissant échapper le virus du laboratoire P4 de Wuhan. Ce que nie farouchement le professeur Yuan Zhiming, directeur des lieux. Mais, aussi respectable que soit ce scientifique, aussi sincères que puissent paraître ses déclarations, la propagande chinoise a tant de fois depuis le début de la crise essayé de faire porter le chapeau à d’autres Etats, dont les Etats-Unis, voire l’Italie, tant de fois menti sur le nombre de victimes du pays, tout comme ses autorités scientifiques ont caché le fond de leurs recherches in situ, que l’on ne peut pas empêcher le doute de s’installer.
Divers incidents récents prouvent que les Chinois n’hésitent pas à utiliser des armes à rayons lasers contre les aéronefs américains et australiens, dans n’importe quel secteur du monde où ceux-là considèrent faire l’objet de recherche agressive de renseignement militaire à leur encontre.
Some recent incidents demonstrate that the Chinese do not waver to use laser beam weapons against American and Australian aircrafts, anywhere in the World when they consider being targeted by offensive military intelligence activities from others.
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Au nord-ouest des États de Sarawak et de Sabah, la Malaisie exploite deux sites pétroliers et procède à des explorations sismiques sur trois autres, dont deux situés au-delà de sa zone économique exclusive (ZEE). De ce fait, elle outrepasse dans ce secteur ses droits légitimes en même temps qu’elle y néglige l’accord passé en 2009 avec le Vietnam sur cette partie de haute mer. La Chine, de son côté, toujours dans son concept de refus aux autres États riverains de la mer de Chine du Sud d’exploiter pleinement leurs ZEE, se livre à des actions de harcèlement paranaval sur ces cinq sites contre les compagnies pétrolières.
L’Indo-Pacifique (IP), un nouveau monde tiraillé entre Washington et Pékin
Cinq grands acteurs dans un théâtre pour trois stratégies
Rémi Perelman, Asie21
NB : Ce qui suit développe le sujet d’un court exposé présenté par Rémi Perelman lors du colloque organisé le 25 février 2020 par la Fondation Gabriel Péri et l’INALCO sur le thème « Mer de Chine méridionale et Indo-Pacifique : comment garantir une sécurité commune ?«
L’Indo-Pacifique est désormais le centre de la compétition géopolitique sino-américaine. On pourrait imaginer, et cela a été dit, être revenu à l’affrontement bipolaire qui a marqué la Guerre Froide avec, pour Washington, un simple changement de sparring partner. Mais l’effacement – tout relatif – des États-Unis trumpiens donnent de l’espace à des puissances moyennes. Trois d’entre elles, chacune à sa manière, pourrait trouver l’instant favorable pour affirmer ses ambitions régionales, l’Inde, l’Indonésie et l’Australie, une situation susceptible de conduire à la multipolarité.
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Le 12 décembre 2019, la Malaisie surprend tout le monde en présentant devant la Commission des limites du Plateau continental (CLCS*) de l’ONU, une prétention (présentée comme une « information ») à extension de plateau continental mesuré à partir des lignes de base droites de l’État de Sabah. Ce qui vaut, comme attendu, une vive réaction chinoise. Mais derrière ce qui apparaît être une provocation plutôt qu’une réelle prétention peut se présumer un plan judicieux.
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On the 12th of December 2019 Malaysia took everybody by surprise by submitting to the Commission on the Limits of the Continental Shelf (CLCS), of the UN, its claim (entitled “an information”) for an extended continental shelf measured from the baselines of the State of Sabah. That, as expected, caused a strong reaction from China. But behind what appears to be a kind of provocation from Malaysia towards Chine may be guessed as a smart scheme.
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Élu sur un programme de lutte contre la corruption et de revitalisation de l’économie, John Magufuli conduit depuis 2015 une politique nationaliste construite autour de la renégociation des grands contrats internationaux conclus sous le mandat de son prédécesseur, Jakaya Kikwete, et d’un interventionnisme brutal dans la vie économique nationale.
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