Le mot est faible. Les écoliers coréens travaillent beaucoup plus que les Finlandais qui réussissent mieux au test Pisa. Bien classée, la Corée du Sud ne conserve pas son avance à l’université et au-delà : la compétence des adultes au travail est moyenne et le taux de chômage des jeunes diplômés s’en ressent. Pourquoi un tel paradoxe ?