Pensé pour renforcer la coopération militaro-technique entre les puissances alliées des États-Unis dans les régions euro-atlantique et indo-pacifique, l’Aukus pourrait bientôt s’élargir à de nouveaux membres. Dans leur communiqué du 8 avril, les trois pays fondateurs, l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont indiqué « envisager de coopérer » avec le Japon sur des projets de capacités avancées de l’Aukus, Pillar II, le volet du Pacte consacré aux technologies de rupture. Un partenariat qui pourrait également concerner la Corée du Sud et la Nouvelle-Zélande, bien que les discussions ne soient pas aussi avancées. Il reste à définir les modalités d’une coopération avec ces deux acteurs aux rapports complexes avec Pékin et dont l’histoire douloureuse les a souvent divisés.
Designed to strengthen military-technical cooperation between U.S.-allied powers in the Euro-Atlantic and Indo-Pacific regions, the Aukus could soon expand to include new members. In their April 8 press release, the three founding countries – Australia, the United Kingdom and the United States – said they were « considering cooperating » with Tokyo on advanced capability projects for the Aukus, Pillar II, the part of the Pact dedicated to disruptive technologies. A partnership that could also involve Seoul and Wellington, although discussions are not as advanced. The modalities of cooperation with these two players, whose relations with Beijing are complex and whose painful history has often divided them, remain to be defined.
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