Après des mois d’échanges verbaux extrêmement violents, parfois aussi ridicules qu’inquiétants, entre le président américain et le chef suprême nord-coréen, se menaçant mutuellement du feu nucléaire (sur le ton « arrête-moi ou je fais un malheur ! ») ce dernier a soudain changé d’attitude et tendu la main au gouvernement de Séoul, proposant une rencontre.